Sécoulèrent plus de deux ans depuis le dernier article sur ce site et la raison principale fut le manque de temps de ma part. J'ai négligé Prism Reflection pour des projets dans d'autres domaine qui portèrent fruits. Malgrès cette molesse, oui car à force de composer des éditorials on en vient à vouloir parfaire sa plume (du moins c'etait mon cas), l'attachement pour la mode ne s'est jamais véritablement estompé néamoins, entre temps et surtout avec l'expérience acquise, on délaisse le coté un peu futile et en surface, si je peu me permettre, pour s'attarder à des questionnements plus large, il ne s'agit pas non plus de plonger dans l'intellectualisme. Dans cette ordre idée, les prochains posts auront une teinte plus individuelle et surtout moins en façade. Si vous le voulez bien, à très bientôt.
Balenciaga photographier par David Sims printemps/été 2009
Traduction peut-être fautive de la collection de par le futurisme de la campagne, Ghesquière modélisait cette collection comme très actuelle, au présent. Un présent qui perd son équilibre de par ces images; automate devenu femme. Le cliché offre quand même un attrait visuel qui plait, in my opinion.
En faisant abstraction du sujet ci-haut, j'aime concevoir la vision de Nicolas Ghesquière comme représentation de l'inclusion des technologies dans nos questionnements ontologiques. C'est à dire prendre en considération machines et culture pour se définir soi-même.
À travers technologies, matières et approches nouvelles on se redéfinit. Cette modernité est marqué chez Balenciaga et considérer les collections de Ghesquière comme futuriste serait faire omission de l'essence de ce qui compose la maison.«L'identité, l'histoire et la présence sont formulées par la technologie et définies par la direction culturelle.» Chair et métal, Dyens
Point de vue et perception peut-être trop teintés par mes préférences?
P.S.: Bonne année 2009!